Pilote d’un jour

C’est un cadeau que je ne m’attendais pas à recevoir au Noël dernier, c’est bien celui-ci une séance de pilotage d’avion ! Le cadeau folklorique de la part d’un couple d’amis (qui n’est jamais en reste pour trouver des idées étranges) que j’étais impatient de réaliser. Quelques jours après, j’ai appelé pour réserver une date ! Et c’est ainsi que, le week-end dernier, je me suis rendu à l’aérodrome avec beau-papa et belle-maman pour qu’on s’envoie en l’air. Nous avons été accueilllis par Thomas, un pilote professionnel. Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page d’accueil. Il nous a expliqué comment fonctionnait un avion, nous sommes montés à bord de l’appareil et je me suis installé côté pilote. L’appareil était un quatre places, mon ami a pu monter derrière en tant que passagère. Consultez notre page d’accueil pour en savoir plus sur bapteme en avion. J’étais persuadé que mon formateur allait s’occuper du décollage et l’atterrissage, vu que ce sont des phases les plus délicates. Mais en définitive, voyant que je n’étais pas tendu, il a décidé que c’était à moi de tout faire ! Ce n’était pas vraiment dangereux, puisque l’appareil était de type auto-école, et les commandes étaient donc en double. Damien pouvait ainsi reprendre la main si cela s’avérait nécessaire. La partie décollage ne m’a posé aucun problème, en fin de compte. Une fois qu’on a atteint une certaine vitesse, il suffit de ramener progressivement le manche, et en avant Simone. Et une fois là-haut, c’est encore plus facile. Les petits appareils ont extrêmement une bonne maniabilité. En fait, c’est très simple à piloter qu’une voiture. Dans le ciel, les déplacements se font certes en trois dimensions, mais il n’y a ni obstacle ni de circulation. C’est tellement simple qu’on peut obtenir sa licence de pilote avant même d’avoir l’âge pour passer le permis B ! Même si ça demande de rester concentré à tout moment. L’appareil est maniable, mais il est aussi particulièrement léger : le moindre souffle de vent suffit à le faire dévier de sa trajectoire. Il faut donc corriger cela avec le manche. Mais ça n’a vraiment rien de compliqué. La seule partie délicate, au final, ça a été l’atterrissage. Mais même là, Cyril a dûcorriger ma trajectoire. Mais en dehors de ça, j’ai vraiment été seul aux commandes de A à Z. Cette initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette nature, la vue est en outre somptueuse.